« On voit tes pores ! » : Déclarez la guerre aux pores dilatés en 5 étapes

Non mais d’abord, c’est quoi un pore ?

 Un pore désigne une cavité dans un objet. On aimerait autant avoir le moins possible de « cavités » dans notre visage. En réalité, son vrai nom est ostia car le pore est l’orifice par lequel s’écoule la sueur. Sachons-le, ces petits orifices à la surface de la peau qui nuisent à la netteté de notre teint (mais protègent sa surface et l’aident à respirer) seront toujours là. Ils sont trois-cent mille, nous sommes 1. L’objectif ultime est de les rendre presque invisibles à l’oeil nu. D’autant que « pores dilatés » rime souvent avec « imperfections » (points noirs, excès de sébum, brillances…).

A quel âge commencer à s’épiler ?

 

Le sujet aborde la notion que nous sommes tous différents face à ce que la nature nous donne. Blond, brun, élancé, avec une pilosité développée… ce qui nous caractérise physiquement est parfois plus ou moins simple à assumer.

Certaines jeunes filles, voire très jeunes filles, moins de 10 ans, pensent déjà à l’épilation.

Est-ce nécessaire ?

Comment la pratiquer sur des corps encore en formation et des peaux très jeunes ?

De l’avis de professionnelles esthéticiennes, l’épilation pré pubère doit être faite uniquement pour des jeunes filles dont la pilosité fournie et sombre, les handicape psychologiquement. C’est un peu la même chose pour une enfant en surpoids qui souhaite entamer un régime afin de couper court aux railleries de ses pairs.

La jeune fille en devenir va constater l’apparition de sa pilosité de femme, au niveau du pubis, sur le visage en un fin duvet au-dessus de la bouche, sous les bras, et les poils déjà présents vont souvent brunir et s’épaissir. C’est ce phénomène qui est à l’origine de l’épilation chez des filles hyper jeunes, ne supportant pas de se mettre en short ou en maillot de bain devant leurs amies. La difficulté d’acceptation est complexe si l’on a seulement 10 ou 11 ans.

Le développement de la pilosité chez les adolescentes se fait entre 10 et 14 ans en général. On connait son « stade pileux » définitif autour des 15 ans. La logique voudrait donc que ce soit vers cet âge que la question de l’épilation et des méthodes à utiliser se pose.

Dans le cas de pilosité « en avance » ou vraiment très touffue l’épilation est alors souhaitable en termes de bien-être mental. Pour éviter les moqueries, le renfermement sur soi, les adolescentes qui souhaitent s’épiler doivent être accompagnées, renseignées sur les méthodes, et épaulées dans ce cheminement généralement attribué à des jeunes filles plus mûres.

Chez une esthéticienne l’épilation à la cire sera la méthode la plus sécure pour la jeune fille. Les poils n’ayant jamais subi de « traitement » ils seront enlevés rapidement, avec moins de douleurs qu’un poil raboté par divers appareils (de torture !) ou le rasoir. Le fait majeur sera le ralentissement de la repousse, l’éclaircissement dans la densité de la pilosité et à terme, un mieux-être certain chez l’adolescente qui pourra remettre des jupes sans se soucier du regard inquisiteur des autres.

Très important, ne pas tomber dans la facilité et chez les très jeunes filles incommodées par trop de pilosité, le rasoir mécanique est à bannir… Ce serait les rendre encore plus malheureuses car une fois la technique du rasoir enclenchée… la pousse est rapide, le rasoir durci le poil et a tendance à enkyster les bulbes. Le scénario catastrophe pour une jeune fille déjà mal dans ses poils…

 

Quelle routine beauté quand on est sportive ?

Doit-on faire un shampoing après son entraînement ? Comment se maquille-t-on ? C’est le genre de questions bêtes qu’on s’est toutes posées en revenant transpirante de notre cours de yoga ou de notre jogging.